George Desvallières et le Salon d'Automne


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« Ce livre sort du purgatoire George Desvallières, un bel artiste qui joua un rôle clé sur la scène artistique française au début du XXe siècle. »

Connaissance des arts, avril 2004



« On attendait un livre qui célébrât enfin le trop peu célébré George Desvallières (…). C’est chose faite avec ce riche et magnifique ouvrage. (…) Desvallières fut un peintre raffiné, mystique, bourgeois et audacieux (…), un peintre secrètement frémissant qui encouragea et soutint avec ferveur quelques obscurs, des infréquentables : Toulouse-Lautrec, Gauguin, Matisse ou Léger. (…) Artiste bien sûr mais aussi critique et spectateur plein de discernement, Desvallières semble avoir préféré la gloire des autres à la sienne propre. Il avait peut-être aussi une autre idée de ce que signifiait la vraie gloire après la mort. »

Le Figaro, 1er janvier 2004



« Ce fils spirituel de Gustave Moreau surnommé « l’oncle des fauves » a pris, contre vents et marées, la défense des « maudits » de l’époque : Derain, Vuillard, Matisse… Il leur a ouvert le légendaire Salon d’Automne (la Fiac d’alors) et a perçu le premier l’interpénétration des disciplines artistiques. »

Paris Match, 20 novembre 2003



« Sensible, sans la moindre afféterie, l’œuvre de Desvallières semble s’enrichir de ses propres contraires. Tour à tour sombre ou lumineuse, profonde ou superficielle, violente ou paisible, elle témoigne toujours de la plus haute exigence et d’une grande humanité. (…) On se demande par quelle mystérieuse ironie « l’oncle des fauves » et ce défenseur des cubistes ne partage pas la renommée de Georges Rouault ou de Maurice Denis dont il fut l’ami. »
Elle Déco, juillet 2004



« Unique en son genre, restant inclassable, George Desvallières pratique une peinture indépendante par rapport à tous les mouvements qu’il met en avant. Un esprit, un caractère à découvrir, un homme tout simplement doté d’un infatigable enthousiasme et de grandes qualités humaines, sachant discerner de nouveaux talents grâce à son sens des autres. »
La Gazette de l’Hôtel Drouot, 19 décembre 2003



« George Desvallières fut un précurseur. (…) Il se distingua, selon le mot d’Edouard Schurr, par « un expressionnisme sombre, un caractère dramatique et douloureux ». (…) Il était indépendant des modes et des intérêts commerciaux. (…) Non content d’imposer les nouvelles manières picturales, il fit entrer au Salon d’Automne d’autres disciplines comme la sculpture et les arts décoratifs, la littérature et la musique. Son souhait était que tous les arts s’orchestrent comme une symphonie universelle. »
Les Petites Affiches, 6 janvier 2004